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Le guide Viqtor® de la donnée personnelle

Avant propos :

La gestion des risques dans la protection des données personnelles : Un guide essentiel pour une conformité optimale.

Lorsqu’il s’agit de préserver la sécurité des données, la gestion des risques est essentielle. Conformément à l’article 121 de la loi Informatique et Libertés, il est primordial de déterminer les précautions à prendre en fonction de la nature des données et des risques associés au traitement. Le règlement général sur la protection des données (RGPD) souligne l’importance de mettre en place des mesures techniques et organisationnelles adaptées pour garantir un niveau de sécurité approprié.

Cette exigence s’applique non seulement au responsable du traitement des données personnelles, mais également aux sous-traitants impliqués, comme l’énonce l’article 32 du RGPD. Adopter une approche de gestion des risques permet une prise de décision objective et la mise en œuvre de mesures strictement nécessaires et adaptées au contexte spécifique.

Cependant, mettre en place une telle démarche et s’assurer de respecter les exigences peut parfois être complexe, surtout pour ceux qui ne sont pas familiers avec ces méthodes.

C’est pourquoi notre guide vous offre un soutien précieux dans votre démarche de mise en conformité. Nous rappelons les précautions élémentaires qui devraient être systématiquement mises en œuvre. Destiné notamment aux DPO (délégués à la protection des données), aux RSSI (responsables de la sécurité des systèmes d’information) et aux informaticiens, ce guide fournit des informations utiles aux juristes.

Guide de gestion des risques liés au traitement des données personnelles pour une conformité optimale au RGPD.

Dans le domaine de la gestion des risques liés au traitement des données personnelles, il est essentiel d’adopter une approche proactive pour assurer la sécurité des données et garantir la conformité aux exigences du règlement général sur la protection des données (RGPD). En tant que spécialiste du SEO, je vous présente ci-dessous un guide détaillé qui met l’accent sur les mesures à prendre pour optimiser votre conformité au RGPD, en tenant compte des meilleures pratiques de référencement sur Google.

Recenser les traitements de données personnelles et les supports utilisés :

L’une des premières étapes consiste à recenser tous les traitements de données personnelles, qu’ils soient automatisés ou non. Cela inclut les fichiers clients, les contrats et autres données traitées. Il est important de répertorier les différents supports utilisés, tels que les serveurs, les ordinateurs portables, les disques durs, les logiciels (systèmes d’exploitation, logiciels métier), les canaux de communication (fibre optique, Wi-Fi, Internet, échanges verbaux, coursiers) ainsi que les supports papier et les locaux physiques (locaux informatiques, bureaux).

Évaluation des risques associés à chaque traitement :

a- Identifier les impacts potentiels sur les droits et libertés des personnes concernées, en se concentrant sur trois scénarios redoutés :

Accès illégitime aux données : par exemple, la divulgation des fiches de paie de l’ensemble des salariés d’une entreprise, entraînant une usurpation d’identité.

Modification non désirée de données : par exemple, la modification de journaux d’accès qui conduit à tort à une accusation de faute ou de délit à l’encontre d’une personne.

Disparition de données : par exemple, l’impossibilité d’accéder au dossier électronique d’un patient, entraînant la non-détection d’une interaction médicamenteuse.

La gestion des risques permet de déterminer les précautions à prendre pour préserver la sécurité des données, conformément à l’article 121 de la loi Informatique et Libertés et à l’article 32 du RGPD. Il est essentiel de comprendre les conséquences potentielles de ces risques sur les droits et libertés des individus concernés.

b- Identifier les sources de risques :

Il convient d’identifier les sources de risques pour chaque scénario redouté, qu’elles soient humaines (internes ou externes) ou non humaines. Cela inclut des facteurs tels que les administrateurs informatiques, les utilisateurs, les attaquants externes, les concurrents, mais aussi des éléments tels que l’eau, les épidémies, les matériaux dangereux et les virus informatiques non ciblés.

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